Une impression informatisée presque sans limites
La dématérialisation de la reproduction associée à la création graphique numérique rend plus simple et plus libre l’impression des documents. Ces avantages se conjuguent à une rapidité d’exécution élevée, à une conservation informatisée des réglages et à la possibilité de réaliser des séries courtes « à la demande ». Seules quelques limites techniques empêchent un usage totalement multi-support.
Flexibilité et rapidité, des avantages emblématiques de la « reproduction à la demande »
L’élimination de l’étape de composition offerte par le numérique accélère fortement les différents processus d’impression. L’ensemble de la chaîne de production graphique devient plus flexible et s’oriente vers une « reproduction à la demande ». Basée sur la petite série, cette dernière s’accompagne d’unepersonnalisation avancée des documents (en particulier promotionnels). En parallèle, le stockage des données sous forme de fichier se traduit par une conservation durable des contenus et une simplicité de transmission. Il garantit aussi une duplication respectant étroitement les choix de mise en page du graphiste.
Une reproduction qui démultiplie les supports possibles
La liberté offerte par la création et l’impression numériques permet un travail sur un support à la taille ou au matériau très variés. Il devient ainsi possible d’assembler plusieurs éléments pour former des structures marketing imposantes comme les totems ou les kakemonos. Une reproduction lé par lé est également utilisable pour concevoir des affiches géantes de 20.000 m², des bâches ou des décors de scène. Papier, tissu, adhésif et PVC se révèlent parfaitement compatibles avec les différentes encres : ils peuvent même bénéficier de protections spécifiques (anti-feu de niveau M1, anti-UV, anti-rayures ou anti-graffitis).
Des limites liées généralement aux technologies employées
Les inconvénients du numérique résultent essentiellement des limites techniques affichées par certaines méthodes d’impression. Les machines à jet d’encre obligent à arbitrer entre qualité du rendu et vitesse de travail, tandis que la xérographie se voit réservée à la reproduction de documents d’entreprise.